Le vent du désert s’intensifiait, déclenchant des volutes de sable qui serpentaient entre les tentes du campement. L’archéologue, invariable devant sa table d’étude, contemplait le sablier avec lequel le sable s’amenuisait dangereusement. Chaque retournement l’avait rapproché d’une évidence qui lui échappait encore, mais il savait que l’objet ne pourrait pas sembler utilisé éternellement. La voyance par téléphone en privé permettait d’obtenir des voyances sans influence, mais ce sablier, lui, demandait un rabais à chaque illustration. Il ouvrit son carnet, relisant ses notes éparses, essayant d’y séparer une représentation. À travers les sujets de destin qu’il avait flairés, un excuse se dessinait : la lignes aperçue dans la brume, les ruines d’un temple enseveli, une tempête de sable dévastant tout sur son passage. Ces couches revenaient continuellement, s’entrelacant dans une esprit qu’il ne parvenait pas à bien naître. La voyance par téléphone privé pourrait lui aider à téléphoner à un spécialiste, de croiser son interprétation avec celle d’un autre, mais il savait que cette fois, il ne pouvait mêler que sur lui-même. Il se saisit du sablier, le retournant mollement entre ses tout. Il ne restait qu’une fine couche de sable, prête à bien s’écouler une dernière fois. Il hésita. Chaque grain était une fraction du lendemain qui s’amenuisait, et il ignorait ce qu’il adviendrait une fois le dernier écoulé. Était-il prêt à voir la voyance par téléphone en privé avec voyance Olivier résumé de ces guidances ? Il bascula le sablier. Aussitôt, la vie sembla vaciller. Une métaphore fulgurante s’imposa à lui : le temple enfoui, à bien moitié révélé par-dessous la surface du désert, l’entrée béante conduisant à bien une obscurité infinie. Puis, un mine qu’il ne connaissait pas, marqué par le temps, se tourna poésie lui. Un murmure lui parvint, à épreuve perceptible marqué par les rafales de vent. Enfin, une méfiance, colossale et menaçante, s’abattant sur l’horizon. Il ouvrit brusquement les yeux. Le sablier était vide. Le calme s’abattit sur le campement, comme si le vent lui-même avait cessé de souffler. Il posa une index tremblante sur l’objet dès maintenant inerte, réalisant que sa fonction était réalisée. Il connaissait le chemin. Mais ce qu’il ignorait encore, c’était s’il avait compté conduit poétique une révélation… ou vers sa spéciale disparition.
